Artiste : PNL | Album : Deux frères | Titre : Sibérie | Année : 2019
Rien ne sert d’effleurer ma peau
Ma peau, c’est la Sibérie
Si mon cœur avait un visage, tu l’appellerais « Seal » ou « Ribéry »
J’traîne dans ce monde et j’vois ton gloss qui traîne sur des bites
Prends la mienne, épargne-moi d’écouter la merde qu’tu débites
Si le cœur devient noir, c’est la faute à tes fautes
Qui perdurent dans la lumière d’mon ego
J’imagine que tu penses que j’suis mal de par mes états d’âme
Tu captes rien sous l’rideau
Si tout ça s’résume à raconter ma haine
Priez pour qu’un jour, j’change de thème
Et le jour où j’parlerai d’amour
Peut-être que j’me dirai que ça en valait la peine
J’ai vu à peu près 400 facettes de l’être humain, aussi noir qu’il soit
La ville est grande, j’veux juste faire un tour, libre comme Onizuka
La rose est grise, le drapeau est rouge, j’lève le pouce, le temps rigole
Quoi, j’traîne trop?
Attends-moi, le passé m’passe la camisole
J’ai des péchés qui passent à la compta’
Mon côté haram reste toujours indompté
J’suis différent, j’ppe-ra avec la ginga
Dans vingt ans, tu m’écouteras, tu diras « Pelé »
La Terre tourne, j’me contourne
J’vois tout à l’envers, tout à l’envers
La Terre tourne, j’me contourne
J’vois tout à l’envers, tout à l’envers
La Terre tourne, j’me contourne
J’vois tout à l’envers, tout à l’envers
La Terre tourne, j’me contourne
J’vois tout à l’envers, tout à l’envers
Du mal avec leur monde qu’on ne côtoie pas
Juste venu pour les baiser (bang, bang, bang, bang)
Ils pourraient pas comprendre l’ambition d’tout niquer sans l’expliquer (tous les niquer)
Et plus j’m’écarte d’la misère, plus j’sens qu’la vérité n’en est pas loin
Et même si tu m’aimes, des fois
J’t’en veux d’pas avoir été là quand j’étais rien (casse-toi de là)
J’veux vivre comme un lion sans avoir connu les règles
En ayant cogné mon cœur (bang, bang, bang, bang)
Y’a ceux qui préfèrent l’échec
Avec toi, accompagné d’chiennes
J’suis le même en moins pire
Le même en pire, ça dépend d’la douleur
Ils ont détruit nos tours
Détruiront pas l’empire qu’on a construit dans nos cœurs
Des rêves trop égoïstes pour que j’les vive
Moi, j’suis trop différent pour savoir qui j’suis
Nulle part où j’me sens chez moi donc j’passe mon temps à fuir
À traîner ceux qu’j’aime derrière moi en leur vendant un avenir
J’fais plus la différence entre les groupies et les femmes
Entre ces putains d’hommes et puis les fans
La Terre tourne, j’me contourne
J’vois tout à l’envers, tout à l’envers
La Terre tourne, j’me contourne
J’vois tout à l’envers, tout à l’envers
La Terre tourne, j’me contourne
J’vois tout à l’envers, tout à l’envers
La Terre tourne, j’me contourne
J’vois tout à l’envers, tout à l’envers
J’vois tout à l’envers, tout à l’envers
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