Punchline de Nekfeu
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Punchlines Nekfeu
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Nekfeu, de son vrai nom Ken Samaras, est un rappeur français né le 3 avril 1990 à La Trinité, dans les Alpes-Maritimes, en France. Il est un membre du collectif de rap L’Entourage et du groupe 1995. Nekfeu est reconnu pour son style musical diversifié, ses paroles profondes et sa capacité à raconter des histoires captivantes à travers sa musique.
Ce qui caractérise Nekfeu, c’est sa polyvalence artistique. Il excelle tant dans le rap que dans la musique alternative, et ses textes abordent des thèmes variés, de la vie en banlieue aux réflexions sur la société, en passant par des questionnements personnels. Il est également reconnu pour ses collaborations avec d’autres artistes français.
Nekfeu a sorti plusieurs projets musicaux à succès au cours de sa carrière solo, notamment les albums « Feu » et « Cyborg ». Ses chansons sont souvent marquées par des paroles réfléchies et une variété de styles musicaux, ce qui les rend accessibles à un public diversifié.
En matière de punchlines, Nekfeu excelle par sa capacité à créer des paroles poétiques et intelligentes qui suscitent la réflexion. Ses textes sont souvent chargés de sens et de métaphores, ce qui les rend à la fois mémorables et profonds. Nekfeu est respecté pour sa contribution à la scène du rap français et sa capacité à repousser les limites de l’art musical.
Indépendants comme PNL, on veut être les premiers comme Jul
Est-ce de ma faute si je me lasse en six mois ? Mon cœur est si dur, mes relations si molles
Si y a une chance, je la prends ; si y a une leçon, je l’apprends
La vérité blesse et y’a qu’aux gens que j’aime que je mens
Un jour, tu donneras ton oui et tu prendras mon nom
Un tas de questions défilent dans ma tête mais quand j’ai la haine, je me fous des réponses
Le passé fut turbulent et nous réserve un futur brûlant
Comme un muslim à la cantine, je n’prends jamais de repos
L’enfer est gelé, le paradis crame
Si c’est ça l’coup d’foudre, autant crever maintenant
Chez nous s’mettre bien, c’est s’mettre mal
J’traite mon argent comme s’il m’devait de l’argent, je le claque ou je le jette par les fenêtres
Voter, c’est décider de qui va décider pour toi
Le cœur veut rien savoir, alors on le supplie L’amour on n’le fait pas, l’amour on le subit
Comme la sclérose en plaques, j’aimerais détruire les os
La terre mère étouffe sous la saleté de ses fils
Avant tu riais du temps qui passe, et puis le temps est passé
Les liens se font et se défont Les humains s’offensent et se défoncent
Face à la lumière intérieure, c’est nos yeux qu’on plisse
Ils disent que l’amour rend aveugle mais il t’a redonné la vue
L’éducation t’a fait désapprendre des choses essentielles que tu savais déjà
T’as beau faire des milliers d’selfies, tu peux pas t’voir
Comme si ça pouvait me porter malheur de croire à mon propre bonheur
Je suis devenu celui dont aurait rêvé celui que je rêvais d’être
Quand je parle de valeurs, ils m’parlent de premiers prix Ils méprisent la maîtrise, je maîtrise le mépris
T’es jamais a l’abri le mal me l’a appris
Quand t’ouvres ton cœur, faut qu’t’acceptes qu’on l’entaille
Je lui ai dit : « T’es belle » en pensant « qu’est-ce que t’es bonne »
