Punchline de Vald
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Punchlines Vald
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VALD de son vrai nom Valentin est un rappeur français issu de Seine-Saint-Denis né en 1992. Il est sur le label de Tunisiano.
Souvent incompris, il a déclenché plusieurs polémiques et/ou incompréhensions avec par exemple : Autiste, Selfie ou Bonjour
Vald est un génie des mots, son dernier album : ce monde est cruel en est la preuve incontestable.
C’est pire que la peste, l’histoire se répète, et c’est peut-être bien nous le virus pour la Terre
J’t’écoute, je fais l’effort déjà d’ouvrir les yeux, comprendre, c’est d’mon ressort, pardonner celui de Dieu
Je fais mon pain seul, j’vais les rouler dans la farine
Je multiplie les p’tits pains, je n’l’appelle pas, j’sais qu’il vient
On n’arrête pas frère, on continue avec moins d’amis
J’veux être ivre, demain ne compte pas, pourquoi la vie devrait être un combat ?
Bébé, m’en veux pas, j’ai autre chose à foutre que d’t’envoyer SMS, y’a plein d’trucs dans ton cul qui n’devraient pas y être comme matraque de CRS
J’me rappelle d’eux à l’ancienne, quand sourire, c’était plus facile, quand mourir me faisait peur, quand Forrest Gump me brisait l’cœur
On efface tout quand je crache, j’ai trempé ma bite dans un pot d’Tipp-Ex
Arrête tes conneries, éteins ta télé, tu vas finir par croire leurs balivernes
Lorsque l’on m’adore, je m’enfuis, c’est pour ça qu’je fixe le plafond
On dira quoi aux gosses ? Qu’on a bien essayé ? Nan, faudra pas bégayer
Aucun rapport protégé, pour faire la fête, faut des g, ton mélange est trop léger, tu m’as pris pour un gros pédé
Le teint pâle et l’âme noire, l’horizon grisonnant
À force de l’lire, j’finis par croire qu’à force de l’dire, j’finis par l’être
L’évolution n’aura fait qu’un tour : alcool et shit et on redevient des singes
Ouais, le sexe et l’argent, ça fait tout, j’ai les deux et pourtant, ça fait rien
Là, j’me branle à mort en attendant la mort, devant l’amour de ceux qui n’font qu’un corps
J’crache du souffre et vomis du pétrole ; l’industrie voudrait m’forer, ça m’désole
J’peux plus me voir, seul, je me lasse, j’vais m’suicider, je me menace
Les pétasses qui m’disaient : « Non », aujourd’hui chantent : « Ah ouais, ouais, ouais »
Mashallah, frère, pour tes longues études ; si l’besoin est, gros y’a mon pécule
J’ai vu tous les Lie to me, t’essaies de m’la faire à l’envers, j’ai repéré ta fossette
Combien de larmes étaient fausses ? Ça fait longtemps que tu t’armais d’émotion, pour me faire pitié, saloperie d’putain, c’est toi le démon
Je t’aime encore en levrette, je t’aime encore en secret
Si tu l’fais pas, moi, je l’fais ; si tu l’sais pas, moi, je l’sais comme si j’étais sorti d’H.E.C
Comme Léon, j’suis dans l’nettoyage, un genre de pro d’l’hygiène, j’me balade en slip, défoncé à mort comme un aborigène
Comment j’peux t’faire confiance ? Tu t’vantes de surveiller l’ennemi devant ton propre miroir