Donc j’ai aimé mon frère plus que ma vie, comme me l’a appris mon père. Chaque rêve, chaque cauchemar, chaque ennemi, chaque euro : partagés · Et à part le nombre de cicatrices, rien ne va changer

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Donc j’ai aimé mon frère plus que ma vie, comme me l’a appris mon père. Chaque rêve, chaque cauchemar, chaque ennemi, chaque euro : partagés · Et à part le nombre de cicatrices, rien ne va changer

Artiste : PNL | Album : Deux frères | Titre : Deux frères | Année : 2019

Paroles de Deux Frères de PNL sur l’album Deux Frères

On a grandi comme les princes de la ville, fous comme Prince de Bel-Air
Flow Corvette, Ford Mustang, dans la légende
La police d’une à six étoiles, à toujours se dire belek
Trop gentil comme Cody, sentiments dans la salle du temps
Il était une fois deux frères, deux fauves, deux trous dans l’cerveau
Poto, deux paires
Conditionnés au fond d’un hall sur une chaise
Emprisonnés, des rêves qui brisent plus d’une chaîne
Esprit de gosse caché derrière le V
Pris d’ambition en stagnant d’vant L.V
Salaire de bacqueux chaque soir dans les Nike
Bénéf’ de la beuh qui part dans le mic’
On a grandi comme les princes de la ville, les rois du hall
Dans l’ciel, pas plus d’une étoile, en face du trône
Des grammes, des kill’s de peine, même dans le bend’
Deux frères, deux fauves, le M

Deux frères, deux frères
Deux frères, deux frères
Deux frères deux frères
Deux frères deux frères
Bats les couilles d’ces fils de pute, j’suis pas là pour être aimé, faudra t’y faire à l’idée
Rien à foutre d’ces catins des bois, d’ce rap de merde ou d’qui t’aura validé
Même plus besoin d’visser d’la qualité d’après vé-Her
D’la force au calme, au Kaïô-Ken, allez, c’est l’heure

J’ai grandi dans le zoo, j’suivais les cris dans la jungle, les pas de grand frère
Papa nous a cogné tête contre tête, nous a dit : « J’veux un amour en fer
J’veux personne entre vous, même pas moi, même pas les anges de l’Enfer »
Donc j’ai aimé mon frère plus que ma vie, comme me l’a appris mon père
Chaque rêve, chaque cauchemar, chaque ennemi, chaque euro : partagés
Et à part le nombre de cicatrices, rien ne va changer

Dans le même, dans le même miroir, on s’est regardés
Dans les mêmes, dans les mêmes trous noirs, on s’est égarés
Quand on était petits, on avait les mêmes sapes, plus grands, les mêmes armes
Même niaks, même terrain, igo, les mêmes schlags
Jamais les mêmes femmes : moi, c’était les belles blondes
Lui, les Vénézuéliennes, moi dehors, lui qui tombe
Rien ne nous sépar’ra, même pas nos bitchs
Tout c’que j’prends, j’te l’donne, un peu comme ma vie
Y’a qu’toi qui sais c’que j’vis, que moi qui sais c’que tu vis
On s’est dit, c’est l’heure d’les baiser, si on fusionnait, chi

Deux frères, deux frères
Deux frères, deux frères
Deux frères, deux frères
Deux frères, deux frères
Bats les couilles d’ces fils de pute, j’suis pas là pour être aimé, faudra t’y faire à l’idée
Rien à foutre d’ces catins des bois, d’ce rap de merde ou d’qui t’aura validé
Même plus besoin d’visser d’la qualité d’après vé-Her
D’la force au calme, au Kaïô-Ken, allez, c’est l’heure

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J'préfère être fils d'esclave qu’être fils de maître, pour moi t'existe pas, ouais t'es un fils de prêtre
La vie est comme une féministe qui twerke sur d’la trap
j'tourne en rond pour être au centre de tout comme le cercle rouge du drapeau japonais
Si j'te tourne le dos, c'est que quand j'avais rien, t'étais pas là
J’vais te traiter comme mon oseille J’vais te jeter par la fenêtre
Ils nous tirent dessus, les gilets jaunes sont devenus gilets rouges
À force de l'lire, j'finis par croire qu'à force de l'dire, j'finis par l'être
J'ai viré millésime là où t'as tourné au vinaigre
Y'a que quand tu descends en enfer qu'tu veux m'renvoyer l'ascenseur
Difficile de parler de futur quand le monde est en train de crever