Défi : Complétez la punchline !
Mon foie m’fait la gueule, alors j’bédave pour ... l’atmosphère
Hugo TSR
Artiste : Nekfeu | Album : Les étoiles vagabondes | Titre : Elle pleut | Année : 2019
Absorbé par un docu’ sur l’univers
L’insomnie est son fléau
Les yeux sur un écran jusqu’à voir fluo
J’regarde par la fenêtre la Lune est verte
Plongé au confluent des époques
J’ai jamais voulu m’y faire, elle pleut
Tu m’fais défier les lois du sommeil
Me retourner la nuit au point d’enlever les lattes du sommier
Le bruit des feuilles mortes qui rayent le trottoir
Mon reflet dans cette flaque
Mais j’peux plus m’voir, ça m’rappelle trop toi
Quand on s’croisait chaque matin dans les transports
Le premier sourire avant que tout se mette à dériver
La première blague complice
La première fois qu’on s’est griffés
Quand je te regardais dormir
Et que j’écrivais
D’où sors-tu? Ta douceur tue
D’où sors-tu? Ta douceur tue
D’où sors-tu? Ta douceur tue
D’où sors-tu? Ta douceur tue
J’écrivais d’où sors-tu? Ta douceur tue
Il était douze heures dix, j’étais d’sortie
Puis t’as mis tout c’en dessus dessous sans m’dire
Que t’avais toute sorte d’idées, de doutes sordides
J’t’ai pas croisée dans le bus ce soir
Pour t’oublier je m’infligeais toujours plus de taff’
On s’est rayé de nos vies tellement brusquement
J’ai l’impression que ta famille me manque plus que toi
Tu ne penses qu’aux autres
Tu ne penses pas à moi
Elle a brisé son cœur sur moi
Tu ne penses qu’aux autres
Tu ne penses pas à moi
Elle a brisé son cœur sur moi
Elle a brisé son cœur sur moi
Brisée son cœur sur moi
Y avait écrit blanc sur noir
C’est fini entre toi et moi
Elle a brisé son cœur sur moi
Brisé son cœur sur moi
C’est fini entre toi et moi
Je m’en vais, je n’reviendrai pas
Hier encore, j’avais les yeux posés sur ton visage
Les yeux posés sur ton visage
Hier encore, j’avais les yeux posés sur ton visage
Les yeux posés sur ton visage
Pour rattraper le temps on aura pas assez d’un seul siècle
Un nuage crevé jette ses pointillés sur le sol sec
Trop de fierté qu’on aime nier
T’aimerais qu’on reste amis, je préfère être ton ennemi
On se voyait dépravés, en façade on ricane
Nos écrans en guise de barricade, on s’envoyait des pavés
Tu m’reprochais d’voir mes frères avec des airs mystérieux
Vaut mieux avoir de sérieux amis que des amis sérieux
Trop de fierté qu’on aime nier
T’aimerais qu’on reste amis, je préfère être ton ennemi
Est-ce qu’on aura la chance que ça recommence? Ça dépend
Maintenant la seule chose qu’on a en commun c’est des potes
Tu ne penses qu’aux autres
Tu ne penses pas à moi
Elle a brisé son cœur sur moi
Elle a brisé son cœur sur moi
Brisé son cœur sur moi
Y avait écrit blanc sur noir
C’est fini entre toi et moi
Elle a brisé son cœur sur moi
Brisé son cœur sur moi
C’est fini entre toi et moi
Je m’en vais, je n’reviendrai pas
Hier encore, j’avais les yeux posés sur ton visage
Les yeux posés sur ton visage (brisé son cœur sur moi)
Hier encore, j’avais les yeux posés sur ton visage
Les yeux posés sur ton visage
Hier encore, j’avais les yeux posés sur ton visage
Les yeux posés sur ton visage
Hier encore, j’avais les yeux posés sur ton visage
Les yeux posés sur ton visage
Hier encore, j’avais les yeux posés sur ton visage
Les yeux posés sur ton visage
Hier encore, j’avais les yeux posés sur ton visage
Les yeux posés sur ton visage
Combien de, combien de, combien de, combien de
Combien de, combien de, combien de, combien de
Combien de fois, combien de rois, combien de lois
Combien de choix, combien d’épreuves, combien de disques
Puis combien de preuves, les mots d’amants se disent
Puis combien de saisons, combien de liaisons
Combien de scissions, combien de lésions
Combien de grains de sable, combien de dunes
Combien de craintes de folles qu’on évacue
Combien de galaxies, combien de lunes
Combien de brins de femme, je n’en vois qu’une