Artiste : Koba LaD | Album : L’affranchi | Titre : Four | Année : 2019
Paroles de Four de Koba LaD
Héé, héé, héé, héé
Héé, héé, héé, héé
Hey, heyJ’suis dans l’allée, capuché, j’revendais
Des dix, des vingt, quand y a les keufs, j’partais
Et j’entends ma Rolex me chuchoter
« On court trop après l’temps pour leur donner l’heure »
Et j’ai décidé, oui, j’l’ai décidé
Dolce Gabbana, Gucci, Thaïlande
Première classe, j’suis à CDG
J’étais tellement haut, je l’ai décidé
Et t’as vu où j’ai grandi, sans mentir, c’est pas facile de s’en sortir
Il m’a fallu des couilles
Grosses, sa mère la pute et un mental bien solide
J’ai traversé toute la France, en train sa mère
Et vraie moula dans le sac, cinq litrons
Par intérêt les fils de putes
Quand ça devient dur et bah changent de camp
Le neuf millimètre devenu léger
Et comme d’hab’, j’suis dans le bolide
Et regarde bien, j’ai chargeur tout plein
J’suis pas du genre à mettre des middle
J’suis dans l’four cramé mais j’ai froid
Ce qui va t’refroidir, c’est mon feu
Quand j’étais p’tit, moi, j’ai fait un vœu
Et aujourd’hui, j’crois qu’c’est fait
J’suis fonce-dé dans l’RS comme un paresseux
Récupérer l’argent qui sort d’sa pussy
J’suis dans la finesse, dans l’ajustement
Et c’est dans sa bouche pour la finition
Et quand j’ai marqué, bah j’me tire
Sur la vie d’ma mère qu’j’ai pas changé sa mère
J’suis à la barrière, j’suis à mon sixième ter
Et j’commence à le ressentir par derrière
Fils de pute, on n’a plus douze ans
On t’séquestre ta mère, faut qu’tu payes ta mère
Et j’connais des mecs qu’ont déjà plus d’cœur
Qu’ont déjà tué sur la vie de ma mère
J’ai le compte rendu, y en a pas assez
Donc j’vais prendre le game par le cul
À la base, tout ça, c’était pas pour nous
Mais bon, on refuse pas les cadeaux
Le disque d’or, le même en platine, attendez, attendez, c’est que l’début
Faut pas lâcher, on va s’les faire
Et quoi qu’il arrive, il faut pas qu’tu doutes
Regarde-nous, on a la peau sur les os
Survêt’ de bas tout rouge deviennent nos yeux
Mais bon nique sa mère, on l’fait pour le blé
Il m’faut cent millions pour qu’j’sois comblé
Écoute-moi bien, il faut que j’t’explique un truc
Y a trois piges, personne croyait en moi
Aujourd’hui ces mêmes fils de putes, ces fils de putes veulent m’serrer la main
J’suis à deux pas d’la Tour Eiffel et j’me fais larsa de bon matin
Trois cents euros la nuit dans la chambre d’hôtel
Comme j’y vais fort, elle crie « Koba, attends »
Y a deux trois billets qui sont déchirés
J’vais acheter des élastiques un peu plus larges
Audemars Piguet, tourbillon extra thin, nique sa grand mère, ton horloge
Elle descend, elle remonte
Et quand c’est sec, euh, elle recrache
J’la démonte, j’be-tom du lit
Et c’est à ses veux-che que je m’accrocheJ’suis dans le refou cramé où les descentes de condés nous refroidissent
J’suis dans le refou cramé où les descentes de condés nous refroidissent
J’suis dans le refou cramé où les descentes de condés nous refroidissent
J’suis dans le refou cramé où les descentes de condés nous refroidissent