
Punchline de Damso
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Punchlines Damso
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Damso, de son vrai nom William Kalubi, est un rappeur belge d’origine congolaise né le 10 mai 1992 à Kinshasa, en République démocratique du Congo. Il s’est rapidement imposé comme l’une des figures les plus influentes de la scène rap francophone. Damso est reconnu pour son style musical unique, ses paroles profondes et ses performances captivantes.
Ce qui caractérise Damso, c’est sa capacité à fusionner le rap, le R&B et d’autres influences musicales pour créer une ambiance sombre et mélodique. Ses textes abordent des thèmes variés, de la vie en banlieue à des réflexions profondes sur la société, la religion et l’identité. Damso est également salué pour sa maîtrise de l’autotune, qui ajoute une dimension particulière à sa musique.
Damso a sorti plusieurs albums à succès au cours de sa carrière, notamment « Batterie Faible, » « Lithopédion » et « QALF. » Ses chansons sont souvent chargées d’émotion et de réflexion, ce qui les rend accessibles à un large public. Il est également reconnu pour sa capacité à créer des mélodies envoûtantes qui restent gravées dans la mémoire de ses auditeurs.
En matière de punchlines, Damso excelle par sa capacité à créer des paroles poétiques et réfléchies qui résonnent avec son public. Ses textes sont souvent chargés de sens et de métaphores, ce qui les rend à la fois mémorables et profonds. Damso est respecté pour sa contribution à la scène du rap francophone et sa capacité à repousser les frontières artistiques.


J’viens pas du ghetto, je n’viens pas des cités, donc si j’dois te niquer, j’le ferai seul tout

Même sourire, différentes blessures, même compte, différents montants

Crucifiez-les tous comme Jésus, le Duc arrive à Nazareth. La France accepte les chèques, elle n’accepte pas les hassanets

Derrière moi beaucoup de traitres, j’ai le dos couché sur des flèches

J’me construis plus dans le regard des autres, j’suis ni des leurs, ni des vôtres, ni des nôtres

C’est quoi un souvenir quand t’es le seul qui s’en souvient ?

Le savoir-vivre n’est pas d’la politesse, mais de la politique pour prendre l’avis des gens

Mais l’amour, c’est quoi quand le mariage est la cause principale du divorce ?

J’t’invite à tout refaire comme les fesses de Kylie Jenner

On bavardait sans dire un mot, le bruit de mon silence en dit long, sentiments grandissants figeant l’ego, prison de mots, absence de compliments

Le hashtag #Vie tient peut-être d’elle, de son cou pendu à la corde

La vie qu’t’as choisie n’est p’t-être pas la bonne, tu vis par principe, tu ris mais t’es triste, tu jouis sans plaisir

Comment puis-je prouver ce que je vaux, si leurs valeurs ne me correspondent pas

Donne-moi ton cœur que j’écrase mon mégot, c’est à toi que je parle donc fais pas ton De Niro

Faut pas semer de doutes, y’a pas qu’toi sur ma route. Non j’veux pas d’sentiment, pour moi c’est trop la lose, j’deviens incontinent quand tu parles d’amour

J’suis dans sa schnek, t’es dans sa friendzone, tu l’as jamais tiré sauf au paintball

Plus b’soin de combler mes besoins, depuis qu’femme et enfant, j’entretiens

Les choses sont souvent plus belles avant, comme le visage de Bardot Brigitte

Parler, c’est penser tout bas, penser, c’est parler tout haut

J’crains plus ma vie que ma mort

On passait du temps à essayer d’en passer

Majeur en l’air, sans commentaire, elle m’tournait le dos, j’ai tourné la page

Tout niquer tout niquer comme Gargamel j’ai un rêve bleu très particulier

Mon Jardin d’Eden ne dépasse pas le matelas

Né dans les ronces, le cœur égratigné

Sentiments égarés, on sourit pour ne pas pleurer

Ils m’ont dit qu’entre pute et pote il n’y a qu’une seule lettre

Quelle vie vit-on quand on a pas la vie qu’on veut ?
