Punchline de Booba
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Punchlines Booba
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Booba, de son vrai nom Élie Yaffa, est un des rappeurs les plus influents et respectés du hip-hop français. Né en 1976 à Boulogne-Billancourt, il a débuté sa carrière dans les années 90 et a rapidement gagné en notoriété, d’abord avec le duo Lunatic, puis en tant qu’artiste solo.
Booba est connu pour son style agressif et direct, son flow distinctif et ses textes tranchants. Sa musique, souvent qualifiée de rap hardcore, mélange des beats puissants avec des paroles sans concession, abordant des thèmes tels que le pouvoir, la rue, l’argent et les réalités de la vie en banlieue.
Ce qui distingue Booba, c’est sa capacité à évoluer et à rester pertinent dans un genre en constante mutation. Il est reconnu pour avoir intégré des éléments de trap, de musique électronique et même de mélodies afro-caribéennes dans ses productions, prouvant son adaptabilité et sa vision artistique.
En termes de punchlines, Booba est un maître. Ses paroles sont souvent mordantes, remplies de métaphores et de références culturelles. Il a un talent particulier pour créer des phrases qui marquent les esprits, souvent grâce à leur audace et leur originalité. Cette capacité à combiner des textes percutants avec un sens aigu du rythme a solidifié sa place comme une légende du rap français.
Je t’assure qu’on peut faire des battes avec d’la sciure, certifié sans ratures ni fausses blessures
On est venus cracher notre haine moi et ceux derrière, ma première parole sera la dernière
Brûler leur sperme en échantillon, souder leurs chattes
Y a la vie, ses bons côtés, moi j’suis sur l’autre berge boy, j’suis en écoute à la Fnac et chez les RG
Plus j’connais les Hommes, plus j’aime mon rot’; ta provenance, appartenance, on s’en moque
La vie c’est dur mais, ici on s’en remet, plus rien ne m’étonne jusqu’ici tout va bien
On m’a dit d’changer des mots pour pas qu’les petits me suivent, pas grâce à moi qu’ils pensent à Tony devant leurs petits suisses
Né dans une cible, on a coupé mon cordon avec une scie. Neuf mois dans un bunker, le majeur debout, l’daron a craché dans un chargeur
Alors je demande un temps mort parce qu’on se fait niquer au score, un flow de porc, je suis là pour ouvrir d’autres portes
J’t’explique la scène, qui veut ma peau perdra la sienne, kho, froids sont les repas dans nos assiettes
Crois-en mon expérience, issu d’un peuple averti, c’est B2O, j’ai 423 ans
Depuis 0.9, ils critiquaient mais ont tous saigné l’autotune
Mon camp c’est le règne animal, là où il n’y a plus de gens. J’veux aller plus haut qu’le sommet de la montagne, là où il n’y a plus de vent
La mort c’est la sœur de la paresse
Depuis les chaînes et les bateaux j’rame, t’inquiète, aucune marque dans le dos man, j’les ai dans le crâne
J’ai craché sur ton sol, j’n’y mettrai jamais l’genou
Jésus dit de tendre la joue mais je n’suis pas pratiquant
C’est pas le quartier qui me quitte, c’est moi j’quitte le quartier
Ton cercueil ton nouvel habitat, je n’viendrai pas à ta crémaillère
À l’école de la rue j’ai fait Harvard
J’ai un cœur tombé du camion, le sourire au bout du canon
On trinque à nos balafres, à nos crochets tous les soirs
Quand la roue tourne que je t’encule, j’appelle ça le Karmasutra
Pé-sa en noir avec une faux, je contourne les MC’s à la craie blanche
On l’a fait tout seul, du sous-sol au toit sans boussole, de la caresse au doigt dans l’boule
Dulcinée veut aller au ciné, j’vais lui péter le dos, elle ira juste chez le kiné
Mon initiale sur ma bague puis sur ta joue, parce que t’es naze et tu perces et tu t’la joues
J’ai creusé tunnel dans son cœur, j’me suis évadé